Si vous souhaitez combiner le charme d’une habitation ethnique, avec le confort d’une ambiance familiale et la fraîcheur d’un jardin, tout en ayant l’assurance de faire une bonne action réellement bénéfique pour la communauté : un séjour dans Mandore Guesthouse s’impose !
Accueillis chaleureusement par les membres de la famille, à cinq minutes de marche des splendides jardins de roses du temple, et à seulement quinze minutes en voiture du Fort de Mehrangarh, vous pourrez profiter d’un havre de paix très bien préservé. Chaque chambre est située dans un cottage ethnique, réalisé avec des matériaux locaux régulièrement repeint. Elle donne sur un très joli jardin où se déroule paisiblement la vie de famille : une seule télévision dans un espace du jardin de manière à ce que l’activité se fasse en groupe et non isolée dans la chambre; un espace foyer autour duquel on peut organiser une veillée à la guitare ou simplement prendre le temps de raconter ses aventures de voyageur.
Le restaurant pittoresque et sans prétention sert uniquement de la nourriture indienne et ouvre sur une charmante terrasse particulièrement appréciable en fin de journée.
Rencontres attypiques au cœur du Rajasthan
La guesthouse accueille pour de longues périodes les volontaires qui travaillent dans les associations locales, leur offrant le sentiment de vivre en famille quand ces derniers se sentent parfois bien loin des leurs. C’est l’occasion de rencontres très intéressantes, permettant de mieux comprendre les problématiques socio-économiques et culturelles de cette région.
Le staff pourtant très professionnel vient des villages attenants et chaque membre est formé par la famille elle-même. Ils peuvent ainsi rester près des leurs et acquérir des compétences sérieuses sous la forme d’un apprentissage payé (et non payant !). Ils en sont d’autant plus dévoués et serviables, même s’il convient naturellement d’être un peu indulgent.
Enfin, l’équipe peut vous proposer la visite de villages mais ne pousse pas pour autant à la consommation, bien au contraire : il ne s’agit pas de développer une économie basée sur la pitié mais plutôt de faire découvrir la culture spécifique de la région. Les quelques safaris organisés changent donc souvent d’itinéraires pour éviter que les villageois ne s’habituent aux touristes.
